Vivre et l'écrire

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Avoir l'air emprunté

A la soirée d'hier, j'ai rencontré une salsera qui était employée de banque.

 

Je l'avais croisée sans m'en rendre compte et pourtant son air emprunté aurait dû me mettre la puce à l'oseille.

 

Je ne lui ai rien dévoilé d'important, j'ai jugé préférable de ne pas rester à découvert avec elle, allez donc savoir pourquoi. On ne sait jamais, elle aurait pu par la suite débiter n'importe quoi sur mon compte me faisant perdre tout mon crédit. Vous me direz : ça aurait pu se terminer autrement ! Peut-être se préparait-elle à me remettre un billet doux avec l'obligation de prendre pour argent comptant son contenu.

 

Oui mais voilà...

 

En somme, si l'occasion devait se présenter, je ne tournerais pas le dos à la possibilité de batifoler dans un champ de blé (ou même ailleurs, je suis un homme tout terrain) avec une femme avant d'aller manger ensemble une financière. En revanche, l'idée de me faire manger par une financière qui se ferait du blé sur mon dos à tout bout de champ ne m'enchante guère !



01/11/2016
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